Je m'approche de ton corps, tiède
intimité
Nos coeurs alors s'envolent et battent à l'unisson
Nos tendres épidermes, liés pour l'éternité
Puis nos regards se croisent, et c'est le grand frisson
Tes mains parcours mon corps dans ses moindres recoins
C'est alors que celles-ci se posent sur mes reins
Ta tête alors se pose au creux de mon épaule
Et toujours tendrement tes doux cheveux me frôlent
De ce tendre moment éphémère mais intense
Il me reste la joie, quand à toi je repense
Ce soir tu n'es pas là, mais je pense bien à toi
En t'imaginant là, dormant tout contre moi
Claudia
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Poèmes du même auteur : Voyage