LE CI-DEVANT
Du temps où
la foule devant
Etale ses toiles aux vents
L’étrange gaillard d’avant
Revendique sa noblesse de sang
Parce qu’il est
sorti du rang
Il se dit tout le temps
Qu’y-a-t-il si aggravant
De se payer du bon temps
Il en oublie le
manant
Il en oublie le paysan
Il en oublie le croquant
Il chasse le faisan
Or ceci n’a qu’un
temps
et le voilà maintenant
tel un sacripant
appelé ci-devant
Lionel
Les poèmes :
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(Mémoires d'Outre-Mer
~ Lettres de courses)
Pavillon noir
~ Ontario ~ La tempête ~
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